Manque de lecture, langage des réseaux sociaux, remplacement des sujets de réflexion par des QCM ou encore heures insuffisantes de français dans les programmes scolaires… Pour Luc Fraisse, professeur de littérature à l’université de Strasbourg, nombreux sont les aspects qui nourrissent l’illettrisme des étudiants. Selon le professeur, la « langue écrite des étudiants » serait même devenue « très défectueuse ».

Ce constat, relayé dans un de nos articles, a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, et notamment Facebook. En voici quelques-unes :

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