© Getty Images

Les premières épreuves communes de contrôle continu (E3C) du baccalauréat nouvelle formule débuteront dès lundi 20 janvier dans de nombreux lycées de France. Pour aider les enseignants dans leur mise en place, deux documents viennent d’être rendus publics par le ministère de l’Éducation nationale. Ils exposent les modalités d’organisation des épreuves communes de contrôle continu ainsi que le calendrier des épreuves.

Sujets, copies et notes

Le premier document sur les modalités d’organisation mentionne les sujets des épreuves, l’organisation et la passation de celles-ci ainsi que la correction des copies et l’harmonisation des notes. Ce document est complété par deux notices, qui récapitulent l’ensemble des points d’attention, destinées aux correcteurs et surveillants des épreuves.

Selon le ministre de l’Education, l’objectif des E3C est de permettre d’alléger la logistique qui entourait l’ancien bac et ses millions de copies à corriger. Dorénavant, 4 matières seront passées lors du contrôle terminal en fin d’année, contre une quinzaine avant.   

Calendrier des épreuves

Le second document expose, quant à lui, le calendrier des épreuves. Il s’étalera sur 3 périodes : deux sessions au deuxième et troisième trimestre de la classe de première, et une session au troisième trimestre de la classe de terminale.
Au deuxième trimestre, les élèves de première composeront sur un sujet d’histoire-géographie et deux langues vivantes, ainsi que, pour la voie technologique, sur les mathématiques. Au troisième trimestre, ces mêmes matières seront concernées ainsi que « le troisième enseignement de spécialité non retenu par les élèves pour la classe de terminale et l’enseignement scientifique de la voie générale », note le ministère.

En terminale, les élèves plancheront sur l’histoire-géographie, deux langues vivantes, l’enseignement scientifiques pour la série générale et les mathématiques pour la voie technologique.

Les sujets sont sélectionnés dans une banque nationale de sujets par les professeurs en fonction de l’avancement dans le programme. Tous les lycéens de France ne seront donc pas évalués sur le même sujet, au même moment.