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Ce plan de l’Éducation nationale s’appuie sur « la mobilisation des associations partenaires du ministère, des ONG, des réseaux humanitaires et de solidarité impliqués dans l’accueil et l’accompagnement de ces personnes », explique-t-on rue de Grenelle.
Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’Éducation nationale, s’est exprimée à ce sujet lors d’un déplacement à la cité scolaire Honoré de Balzac dans le 17e arrondissement de Paris. « L’accueil des populations contraintes à l’exil s’inscrit dans une politique humanitaire fidèle aux valeurs de la France. J’ai considéré que nous avions aujourd’hui à l’Éducation nationale une expertise que nous pouvions mettre à disposition », a-t-elle confié selon des propos relayés par France 24.
Apprentissage des valeurs de la République
Elle a précisé que 52 000 élèves ont été accueillis dans des Unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants, les UPE2A. Des classes où sont réunis plusieurs élèves de différents horizons afin d’apprendre le français, avant de rejoindre une classe « ordinaire ». La ministre souhaite également « un accompagnement linguistique » et « un apprentissage des codes et des valeurs de la République » pour les réfugiés.
L’Éducation nationale mobilise ses partenaires et l’expertise de ses réseaux pour apprendre le français aux migrants https://t.co/vF2uOadPkF pic.twitter.com/1wbWeBHFvs
— Najat Belkacem (@najatvb) 21 novembre 2016
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