Phédresse est née de l’imagination débridée de J.-Ph. Grosperrin, maître de conférences en littérature, qui a décidé de traiter sur le mode du pastiche la crise profonde que traverse l’université actuellement, marquée par un dialogue rompu entre les universitaires et leur ministre de tutelle.
J.-Ph. Grosperrin a repris certains des vers les plus célèbres de Phèdre, et les a transformés à sa façon, il faut en convenir particulièrement hilarante.
Aux tragiques échanges de la pièce de Racine, il substitue ceux de Phédresse et d’Hydarcos
Piquant ! et ça convient parfaitement à la situation.