Alain Finkielkraut, dans le débat intitulé « L’avenir de l’université française » de son recueil, synthétise des propos sur l’université de Jean-Claude Casanova (économiste et juriste, membre de l’académie des sciences morales et politiques, cofondateur avec Raymond Aron de la revue Commentaire, qu’il dirige) sous la forme d’une question :
« Si l’on admet avec vous, Jean-Claude Casanova, que le mandat de l’université, dans les pays démocratiques, est désormais triple
Peut-on m’expliquer ce qui justifie un tel article ? Ressasser des banalités (même vraie) publiées mille fois apporte-t-il quoi que ce soit au débat ?Signaler un abus